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En Loire-Atlantique comme ailleurs, depuis le début de l’épidémie de COVID-19, certains patients renoncent à consulter leur médecin, mais aussi leur infirmier ou leur chirurgien-dentiste, comme ils le font habituellement.
Ces possibles renoncements ou reports de soins peuvent avoir des conséquences graves sur la santé.
En cas de besoin, il faut donc impérativement contacter son médecin traitant, son médecin spécialiste ou un médecin le plus proche de son domicile au cas où le médecin habituel ne serait pas disponible.
Les personnes âgées polypathologiques, notamment, doivent ainsi continuer à consulter leur médecin régulièrement.
Les personnes atteintes d’une maladie chronique également. Les autorités de santé ont mis en place des mesures dérogatoires pour renouveler en pharmacie les ordonnances pour les traitements de longue durée mais les patients concernés doivent appeler leur médecin en cas de symptômes ou signes inhabituels.
Le suivi de grossesse, auprès d’un gynécologue, d’une sage-femme ou d’un médecin généraliste, ne doit par ailleurs pas être interrompu.
De la même façon, des retards de prise en charge auprès de son orthophoniste, de son infirmier, de son chirurgien-dentiste, de sa sage-femme, de son masseur-kinésithérapeute, de son pédicure-podologue… sont susceptibles d’entraîner des problèmes de santé plus graves.
Lorsque la situation le permet, les médecins, infirmières, sages-femmes et orthophonistes proposent des téléconsultations ou des consultations par téléphone. Il est désormais possible pour les masseurs- kinésithérapeutes de suivre certains patients en rééducation à distance, par téléconsultation.
Si la consultation à distance n’est pas possible, comme c’est le cas pour certaines pathologies, les rendez-vous peuvent s’effectuer en toute sécurité en cabinet, en maison de santé ou en centre de santé, avec des mesures adaptées de protection et d’hygiène. Ainsi, les infirmier-e-s poursuivent, comme à l’accoutumée, leurs permanences de soins. Il en est de même pour les soins orthophoniques qui ne peuvent pas être différés. Une organisation spécifique est également mise en place par les masseurs-kinésithérapeutes, les chirurgiens-dentistes et les pédicures-podologues pour les soins urgents.
Plus d'infos sur le site internet : https://www.ameli.fr/loire-atlantique
Pour aider le monde associatif à faire face à la situation et aux conséquences de la pandémie de Covid-19, le Département Loire Atlantique crée un fonds de soutien exceptionnel doté d'au moins 2 millions d'euros, en complément des subventions qui seront effectivement versées en 2020.
Ce fonds de soutien est destiné aux acteurs qui œuvrent dans les domaines suivants : Culture ; Sport ; Éducation populaire et lutte pour l’égalité des droits ; Éducation /séjours de découvertes et d’intégration ; Sensibilisation /éducation à l’environnement ; Lutte contre les violences faites aux femmes ; Associations caritatives.
Les demandes adressées par les partenaires réguliers du Département seront priorisées, mais sans être exclusives. Les situations seront regardées au cas par cas.
Plus d'infos sur le site du département Loire-Atlantique
Vous êtes confinée chez vous avec un homme violent.
Le confinement n'interdit pas de vous protéger et protéger vos enfants, de refuser la violence, de sauver votre vie !
Les professionnelles de SOlidarité femmeS Loire-Atlantique restent mobilisées à l'écoute des femmes victimes de violences conjugales, de leur entourage et auprès des professionnel·le·s
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En cas d'urgence et de danger immédiat, vous pouvez appeler police secours (17) ou envoyer un SMS au 114.
Le dernier dimanche d'avril est la "journée nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation". Chaque année, des cérémonies officielles sont organisées à Paris et dans les Territoires.
Cette année, compte tenu de la situation exceptionnelle liée à l'état d'urgence sanitaire et aux mesures de confinement, Geneviève DARRIEUSSECQ Secrétaire d'État auprès de la ministre des Armées, procèdera,seule, dimanche 26 avril à un dépôt de gerbe au mémorial de la SHOAH puis au mémorial des martyrs de la Déportation à Paris.
Les cérémonies qui devaient se tenir localement sous la présidence des préfets et hauts-commissaires sont annulées.